Villiers-Fossard :
Église Saint-Pierre et Saint-Paul
L’église actuelle date principalement des XVIIe et XVIIIe siècles, bien que certains éléments plus anciens (notamment le chœur) témoignent de remaniements successifs.
Elle fut probablement construite sur l’emplacement d’un sanctuaire médiéval disparu.
La nef, au plan rectangulaire, présente une architecture sobre, sans transept.
Le clocher-mur, de style roman tardif, est percé de baies campanaires qui abritent les cloches.
Le bâtiment a subi des dommages pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment lors de la bataille de Normandie en 1944,
et a été partiellement restauré dans les années qui ont suivi.
Elle fut probablement construite sur l’emplacement d’un sanctuaire médiéval disparu.
La nef, au plan rectangulaire, présente une architecture sobre, sans transept.
Le clocher-mur, de style roman tardif, est percé de baies campanaires qui abritent les cloches.
Le bâtiment a subi des dommages pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment lors de la bataille de Normandie en 1944,
et a été partiellement restauré dans les années qui ont suivi.
L'église fut sinistrée, mais pas entièrement, le clocher gothique, avec son toit en bâtière, est resté debout.
Les travaux de reconstruction commencent en 1951.
Rebâtie dans un style moderne, d'après les plans de Guy Pison,
architecte en chef, secondé par J. Desouches (Couvains), l'église est un grand volume cubique au toit plat,
dont les parois latérales sont animées de claustras de béton ornées de dalles de verre, œuvres de Jean Couturat. La maçonnerie allie un appareillage de moellons, en pierre de pays, et le béton armé. La façade ouest est appareillée en arête de poisson et un auvent, en béton, abrite le portail, comme à l'église de Graignes. Un petit christ en fer forgé était niché dans l'auvent. La façade sud présente un préau, surmonté par les claustras alvéolées, en béton. Le chevet est en pierre apparente. L'intérieur de l'église présente des lignes rigides et une maçonnerie nue.
La voûte est supportée par des poutres et des "droits" en béton. La toiture est en aluminium.
Les travaux de reconstruction commencent en 1951.
Rebâtie dans un style moderne, d'après les plans de Guy Pison,
architecte en chef, secondé par J. Desouches (Couvains), l'église est un grand volume cubique au toit plat,
dont les parois latérales sont animées de claustras de béton ornées de dalles de verre, œuvres de Jean Couturat. La maçonnerie allie un appareillage de moellons, en pierre de pays, et le béton armé. La façade ouest est appareillée en arête de poisson et un auvent, en béton, abrite le portail, comme à l'église de Graignes. Un petit christ en fer forgé était niché dans l'auvent. La façade sud présente un préau, surmonté par les claustras alvéolées, en béton. Le chevet est en pierre apparente. L'intérieur de l'église présente des lignes rigides et une maçonnerie nue.
La voûte est supportée par des poutres et des "droits" en béton. La toiture est en aluminium.